little davgemini portrait 329x329 - Bio

Poussé au cœur des années 80, bercé par le Club Dorothée et son influence nippone, j’ai éclos en périphérie de Paris.

De formation littéraire, mes études ne me prédestinaient pas à un métier purement créatif. Licence, Maîtrise et Master de Communication-Marketing, mon avenir professionnel prenait le chemin du marketing direct dans les médias.
Et puis un déclic m’a « réveillé » de ce mood professionnel.

L’image et les mots sont vite devenus mes principaux moyens de mémorisation.
Durant mes études, le déclic pour la photo et bientôt l’évidence pour le mouvement autour de l’image pointe son nez.
Obsession de documenter, raconter ce que j’ai vécu.

Des expos, des rencontres, des photos de vacances, ce goût du perfectionnement et des choses folles mais bien faites.

Je me suis autoformé, beaucoup documenté et j’ai énormément appris de mes erreurs en prise de vue et en traitement.

Et c’est ainsi qu’avec du temps et de la pratique, j’ai fusionné avec la photographie et la vidéo, jusqu’à ne faire plus qu’un.

Je suis très passionné, spontané, curieux, subtil et tendre.

Voila ma recette pour raconter votre histoire d’amour en photo et en vidéo.

Photographe autodidacte ? Oui et c'est par ici !
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Mes influences sont multiples.

Cinématographiques et graphiques forcément.
Tarantino (Pulp Fiction, Kill Bill), Guy Ritchie (Snatch, Sherlock Holmes), Sergio Leone (Le bon, la brute et le truand). Les séries comme l’arc de Pablo Escobar dans Narcos où l’odyssée de The Wire sont de vraies sources où je puise des idées notamment pour les montages vidéos

La musique rythme ma vie également jusqu’au point où mes playlists vont de Metronomy, George Michael, Damso, Ratatat, Olivia Ruiz, Sofiane Pamart, La Femme, rejoignent Kaaris, Eminem, La Caution en passant par Keziah Jones et Arctic Monkeys.

Ma bibliothèque est également très éclectique où Mon Bel Oranger, flirte avec Le Néant Quotidien de Zoé Valdes ou les ovnis d’Edgar Hilsenrath.

“If you’re going to try, go all the way.
Otherwise, don’t even start.

This could mean losing girlfriends, wives, relatives and maybe even your mind.
It could mean not eating for three or four days. It could mean freezing on a park bench.

It could mean jail. It could mean derision. It could mean mockery–isolation. Isolation is the gift.
All the others are a test of your endurance, of how much you really want to do it.
And, you’ll do it, despite rejection and the worst odds.

And it will be better than anything else you can imagine. If you’re going to try, go all the way.
There is no other feeling like that. You will be alone with the gods, and the nights will flame with fire.
You will ride life straight to perfect laughter. It’s the only good fight there is.”

Charles Bukowski

« Encore frissonnant
Sous la peau des ténèbres
Tous les matins je dois
Recomposer un homme
Avec tout ce mélange
De mes jours précédents
Et le peu qui me reste
De mes jours à venir.
Me voici tout entier,
Je vais vers la fenêtre.
Lumière de ce jour,
Je viens du fond des temps,
Respecte avec douceur
Mes minutes obscures,
Epargne encore un peu
Ce que j’ai de nocturne,
D’étoilé en dedans
Et de prêt à mourir
Sous le soleil montant
Qui ne sait que grandir. »

Jules Supervielle
(Extrait de « La fable du monde »)